Valerian and Laureline

Valerian and Laureline αžœαŸ‰αž»αž› 7 Β· Cinebook
4.7
αž€αžΆαžšαžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒ 3
αžŸαŸ€αžœαž—αŸ…β€‹αž’αŸαž‘αž·αž…αžαŸ’αžšαžΌαž“αž·αž…
47
αž‘αŸ†αž–αŸαžš
αž˜αžΆαž“αžŸαž·αž‘αŸ’αž’αž·
αž€αžΆαžšαžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒ αž“αž·αž„αž˜αžαž·αžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒαž˜αž·αž“αžαŸ’αžšαžΌαžœαž”αžΆαž“αž•αŸ’αž‘αŸ€αž„αž•αŸ’αž‘αžΆαžαŸ‹αž‘αŸ αžŸαŸ’αžœαŸ‚αž„αž™αž›αŸ‹αž”αž“αŸ’αžαŸ‚αž˜

αž’αŸ†αž–αžΈαžŸαŸ€αžœαž—αŸ…β€‹αž’αŸαž‘αž·αž…αžαŸ’αžšαžΌαž“αž·αž€αž“αŸαŸ‡

Valerian, shot to death in an Indian fortress. Valerian, dead in 19th century London. Valerian, gunned down in San Francisco’s Chinatown... And Laureline, paired up with an unpleasantly arrogant historian from Galaxity, forced to witness every demise of the man she loves on a succession of re-enacted pieces of human history. A very strange case that will take the two spatio-temporal agents to the limits of their endurance as they hunt down the mysterious architect of the false Earths....

αž€αžΆαžšαžŠαžΆαž€αŸ‹αž•αŸ’αž€αžΆαž™ αž“αž·αž„αž˜αžαž·αžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒ

4.7
αž€αžΆαžšαžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒ 3

αž’αŸ†αž–αžΈβ€‹αž’αŸ’αž“αž€αž“αž·αž–αž“αŸ’αž’

Pierre Christin est nΓ© en I938 dans la banlieue parisienne. PassionnΓ© par les numΓ©ros de "DΓ©tective" ou les couvertures illustrΓ©es de "Radar, le journal qui Γ©tait lΓ ", il soutiendra plus tard une thΓ¨se sur "Le fait divers, littΓ©rature du pauvre".Entre temps, aprΓ¨s avoir commencΓ© modestement ses Γ©tudes dans un cours complΓ©mentaire, il sera passΓ© par la Sorbonne puis Sciences Po Paris. Entre ses activitΓ©s de pianiste de jazz et ses premiers travaux de journalisme, de traduction, d’écriture, il part pour l’ouest amΓ©ricain dans les annΓ©es 60 et s’enthousiasme aussi bien pour la vie des ranches que les autoroutes urbaines, la science fiction, le polar ou la musique noire Γ  son apogΓ©e. MΓͺme s’il y retourne toujours, il est aujourd’hui un peu fΓ’chΓ© avec les USA oΓΉ les rapports sociaux sont devenus beaucoup trop coriaces Γ  son goΓ»t. En I967, il signe avec MΓ©ziΓ¨res la premiΓ¨re aventure de VALERIAN, sans imaginer un instant la longΓ©vitΓ© future de son hΓ©ros. C’est aussi le moment qui voit sa nomination Γ  l’universitΓ© de Bordeaux, oΓΉ il crΓ©e en I968 ce qui deviendra l’école de journalisme, dont il est toujours l’un des animateurs. A "Pilote", dans les annΓ©es 70-80, il Γ©crit pour Tardi, Boucq, Vern, et bien d’autres – une soixantaine d’albums Γ  ce jour – abordant les genres les plus divers, accordant ses convictions et humeurs au tempΓ©rament de chacun. Il rΓ©serve son versant optimiste, voire utopiste, Γ  son vieil ami MΓ©ziΓ¨res dont il apprΓ©cie la clartΓ© narrative et l’humour rΓ©jouissant. Les sujets plus graves, nourris par des enquΓͺtes dans ce qui est encore Γ  l’époque le bloc communiste, il les traite avec Enki Bilal dans certains albums devenus des grands classiques de la bande dessinΓ©e politique comme "Les Phalanges de l’Ordre Noir" ou "Partie de Chasse". Avec Annie Goetzinger, c’est une tout autre sensibilitΓ© : portraits de femmes, intrigues et intimisme comme dans "La Demoiselle de la LΓ©gion d’Honneur" (1980) ou "Paquebot" (1999). Le mΓ©tier de scΓ©nariste lui permet d’explorer ses vocations restΓ©es en friche : bien que s’estimant trop bavard pour l’emploi, il aurait aimΓ© Γͺtre espion afin de monter des scΓ©narios en vraie grandeur. Ou alors officier de marine pour avoir tout le temps de lire Γ  bord de cargos pourris comme ceux qu’il a empruntΓ©s pour Γ©crire "Lady Polaris", balade dans les ports d’Europe publiΓ©e avec MΓ©ziΓ¨res en I987. Il aurait aussi aimΓ© Γͺtre architecte, pour bΓ’tir toutes ces villes qu’il a racontΓ©es, telles Los Angeles dans "L’Etoile oubliΓ©e de Laurie Bloom"ou le Belgrade encore yougoslave de "Coeurs Sanglants et autres faits divers" avec Enki Bilal. Il aura en tout cas Γ©tΓ© un voyageur consΓ©quent, profitant des immobilitΓ©s imposΓ©es –attentes dans les hΓ΄tels, les gares, les aΓ©roports – pour observer, noter, emmagasiner. Il est capable d’arpenter une ville des journΓ©es entiΓ¨res de faΓ§on obsessionnelle, prenant des photos (plutΓ΄t moches mais efficaces) qu’il distribue ensuite Γ  ses dessinateurs. Mais divaguer en Patagonie ou descendre les rapides du MΓ©kong ne lui fait pas peur (enfin, pas trop). ChaussΓ© de ses indestructibles Weston ayant foulΓ© le Cap Nord et le Kalahari, il a fait un premier tour du globe par l’hΓ©misphΓ¨re nord en I992, un second par l’hΓ©misphΓ¨re sud en I999, pΓ©riples qu’on retrouve dans "L’homme qui fait le tour du Monde" (avec Philippe Aymond). Mais il a fait beaucoup plus souvent encore le tour de Paris sur les rails abandonnΓ©s de la petite ceinture ("La Voyageuse de Petite Ceinture" avec A. Goetzinger, I985) et celui de la Petite Couronne en vΓ©lo ("La Bonne Vie" avec Max Cabanes, I999). Romancier, il traite aussi bien l’aventure citadine dans " ZAC " et " Rendez-Vous en Ville " que les plongΓ©es au fond du terroir franΓ§ais dans "L’Or du Zinc" (1998). Il aborde Γ©galement le théÒtre ou le scΓ©nario de film ("Bunker Palace HΓ΄tel" avec Enki Bilal en I989). Et, sans pour autant abandonner la bande dessinΓ©e, il a publiΓ© rΓ©cemment de nombreux ouvrages illustrΓ©s explorant d’autres rapports entre textes et dessins dans la collection en format Γ  l’italienne LES CORRESPONDANCES DE PIERRE CHRISTIN. Collection pour laquelle il a travaillΓ© notamment avec Patrick Lesueur, Jacques Ferrandez, Jean-Claude Denis, Alexis Lemoine et Enki Bilal. ConsidΓ©rant que, pour vivre heureux, il faut vivre beaucoup mais cachΓ©, il aurait aimΓ© avoir cent vies dans cent villes et presque autant d’identitΓ©s.Retrouvez le site de Pierre Christin, www.pierrechristin.com.

αžœαžΆαž™αžαž˜αŸ’αž›αŸƒαžŸαŸ€αžœαž—αŸ…β€‹αž’αŸαž‘αž·αž…αžαŸ’αžšαžΌαž“αž·αž€αž“αŸαŸ‡

αž”αŸ’αžšαžΆαž”αŸ‹αž™αžΎαž„αž’αŸ†αž–αžΈαž€αžΆαžšαž™αž›αŸ‹αžƒαžΎαž‰αžšαž”αžŸαŸ‹αž’αŸ’αž“αž€αŸ”

αž’αžΆαž“β€‹αž–αŸαžαŸŒαž˜αžΆαž“

αž‘αžΌαžšαžŸαž–αŸ’αž‘αž†αŸ’αž›αžΆαžαžœαŸƒ αž“αž·αž„β€‹αžαŸαž”αŸ’αž›αŸαž
αžŠαŸ†αž‘αžΎαž„αž€αž˜αŸ’αž˜αžœαž·αž’αžΈ Google Play Books αžŸαž˜αŸ’αžšαžΆαž”αŸ‹ Android αž“αž·αž„ iPad/iPhone αŸ” αžœαžΆβ€‹αž’αŸ’αžœαžΎαžŸαž˜αž€αžΆαž›αž€αž˜αŸ’αž˜β€‹αžŠαŸ„αž™αžŸαŸ’αžœαŸαž™αž”αŸ’αžšαžœαžαŸ’αžαž·αž‡αžΆαž˜αž½αž™β€‹αž‚αžŽαž“αžΈβ€‹αžšαž”αžŸαŸ‹αž’αŸ’αž“αž€β€‹ αž“αž·αž„β€‹αž’αž“αž»αž‰αŸ’αž‰αžΆαžαž±αŸ’αž™β€‹αž’αŸ’αž“αž€αž’αžΆαž“αž–αŸαž›β€‹αž˜αžΆαž“αž’αŸŠαžΈαž“αž’αžΊαžŽαž·αž αž¬αž‚αŸ’αž˜αžΆαž“β€‹αž’αŸŠαžΈαž“αž’αžΊαžŽαž·αžβ€‹αž“αŸ…αž‚αŸ’αžšαž”αŸ‹αž‘αžΈαž€αž“αŸ’αž›αŸ‚αž„αŸ”
αž€αž»αŸ†αž–αŸ’αž™αžΌαž‘αŸαžšβ€‹αž™αž½αžšαžŠαŸƒ αž“αž·αž„αž€αž»αŸ†αž–αŸ’αž™αžΌαž‘αŸαžš
αž’αŸ’αž“αž€αž’αžΆαž…αžŸαŸ’αžŠαžΆαž”αŸ‹αžŸαŸ€αžœαž—αŸ…αž‡αžΆαžŸαŸ†αž‘αŸαž„αžŠαŸ‚αž›αž”αžΆαž“αž‘αž·αž‰αž“αŸ…αž€αŸ’αž“αž»αž„ Google Play αžŠαŸ„αž™αž”αŸ’αžšαžΎαž€αž˜αŸ’αž˜αžœαž·αž’αžΈαžšαž»αž€αžšαž€αžαžΆαž˜αž’αŸŠαžΈαž“αž’αžΊαžŽαž·αžαž€αŸ’αž“αž»αž„αž€αž»αŸ†αž–αŸ’αž™αžΌαž‘αŸαžšαžšαž”αžŸαŸ‹αž’αŸ’αž“αž€αŸ”
eReaders αž“αž·αž„β€‹αž§αž”αž€αžšαžŽαŸβ€‹αž•αŸ’αžŸαŸαž„β€‹αž‘αŸ€αž
αžŠαžΎαž˜αŸ’αž”αžΈαž’αžΆαž“αž“αŸ…αž›αžΎβ€‹αž§αž”αž€αžšαžŽαŸ e-ink αžŠαžΌαž…αž‡αžΆβ€‹αž§αž”αž€αžšαžŽαŸαž’αžΆαž“β€‹αžŸαŸ€αžœαž—αŸ…αž’αŸαž‘αž·αž…αžαŸ’αžšαžΌαž“αž·αž€ Kobo αž’αŸ’αž“αž€αž“αžΉαž„αžαŸ’αžšαžΌαžœβ€‹αž‘αžΆαž‰αž™αž€β€‹αž―αž€αžŸαžΆαžš αž αžΎαž™β€‹αž•αŸ’αž‘αŸαžšαžœαžΆαž‘αŸ…β€‹αž§αž”αž€αžšαžŽαŸβ€‹αžšαž”αžŸαŸ‹αž’αŸ’αž“αž€αŸ” αžŸαžΌαž˜αž’αž“αž»αžœαžαŸ’αžαžαžΆαž˜β€‹αž€αžΆαžšαžŽαŸ‚αž“αžΆαŸ†αž›αž˜αŸ’αž’αž·αžαžšαž”αžŸαŸ‹αž˜αž‡αŸ’αžˆαž˜αžŽαŸ’αžŒαž›αž‡αŸ†αž“αž½αž™ αžŠαžΎαž˜αŸ’αž”αžΈαž•αŸ’αž‘αŸαžšαž―αž€αžŸαžΆαžšβ€‹αž‘αŸ…αž§αž”αž€αžšαžŽαŸαž’αžΆαž“αžŸαŸ€αžœαž—αŸ…β€‹αž’αŸαž‘αž·αž…αžαŸ’αžšαžΌαž“αž·αž€αžŠαŸ‚αž›αžŸαŸ’αž‚αžΆαž›αŸ‹αŸ”