La Municipalité de la Paroisse Saint-Antoine de Longueuil semblait offrir cette chance; le «rêve québécois» pouvait devenir réalité au-delà de la frontière insulaire de Montréal. Ils furent donc nombreux à aller construire leur maisonnette, avec le bois de vieux wagons de chemins de fer, dans des champs dépourvus d'égout, d'aqueduc, sans presque la moindre surveillance policière.