"Valentine de Saint-Vit, dame de Palençay, dont les terres avoisinaient celles de la Commanderie du Temple, jetait depuis longtemps un Åil de convoitise sur ce domaine prospÃĻre.Son grand-oncle paternel Jean, accomplissant un vÅu au retour de la derniÃĻre croisade, avait fait don des deux tiers de ses terres à lâOrdre du Temple, ce dâautant plus aisÃĐment quâil nâavait point de descendant direct. Comme les clauses de sa donation chargeaient les FrÃĻres chevaliers dâassurer la dÃĐfense du manoir de Saint-Vit, lÃĐguÃĐ Ã ses niÃĻces, et pour lors dit de Palençay, depuis plus dâun siÃĻcle que les Templiers occupaient le fief dominant, cultivÃĐ, agrandi, fortifiÃĐ de leurs mains, toutes les terres attenantes au manoir voisin ÃĐtaient passÃĐes sous la juridiction du Commandeur. Or, le sire de Palençay â pas plus que son beau-pÃĻre â ne sâÃĐtant point souciÃĐ de contester ce droit au nom du sien pour nâavoir jamais rÃĐsidÃĐ dans ce domaine dotal â, quand, aprÃĻs la mort de son ÃĐpoux, elle-mÊme y revint, Madame de Palençay sâimpatienta comme dâune servitude de cette protection, à ses yeux abusive, que le Temple ÃĐtendait sur ses terres."
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