Mais, dans cette période des fugues, de la guerre, des premiers séjours à Paris, ces textes recopiés au retour à Charleville, s'arrêtant chez Paul Demeny, et liés à l'errance, la marche à pied, en avons-nous suffisamment pris regard global ?
Et quels surgissements tranchants à cette érotique douce, aux goulées de bière, aux peintures de manèges et aux musiques de fanfares.
Ils reprennent leur jeunesse, lorsque nous les ouvrons sur nos appareils d'un tel anachronisme devant l'homme aux semelles de vent.
Raison de plus d'y revenir.
FB